Une baisse des coûts de production qui se poursuit…
Et une compétitivité qui se renforce
… avec à la clé d’importantes retombées socio-économiques et environnementales
La baisse constatée des coûts d’investissement et donc du LCOE du solaire photovoltaïque et thermique devrait se poursuivre de manière significative d’ici 2023
L’énergie solaire confirme son statut d’énergie compétitive, avec un avantage accentué à l’avenir grâce à la baisse des coûts d’investissement, et va nécessiter un soutien public modéré pour accompagner ses progrès de compétitivité dans les années à venir
En 2015, le secteur compte un peu plus de 10 000 emplois bruts directs. En se basant sur la PPE actuelle, le secteur solaire a le potentiel d’éviter l’émission de 24 Mt CO2 -eq et de compter plus de 21 000 emplois bruts directs d’ici 2023 (+13000/2015), dont 13 900 dans le photovoltaïque et 7 900 dans le solaire thermique. Une part de plus en plus importante des emplois est liée à la maintenance et constitue donc une source d’emplois pérennes et non délocalisables. A cela s’ajoute des retombées positives en termes de qualité de l’air, de redynamisation et de sensibilisation des territoires.
Pour en savoir plus, renseignez vous avec l’étude “emploi et compétitivité”.